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Rencontre |
Tenues stériles Cleanrooms pour manipulations sans risque |
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C’est sur la commune d’Idron, en banlieue de Pau, que se niche Aquitaine Pharm International, site de production du groupe Pierre Fabre dédié à la fabrication des médicaments injectables. Tolérance zéro en matière de contamination oblige, ses opérateurs en blocs stériles arborent les combinaisons et surbottes Cleanrooms d’Initial. Explications avec Claudie Petit, responsable du contrat de gestion de la lingerie.
Une équipe professionnelle et réactive
Pour le site de Pau comme pour toutes les autres filiales du Groupe Pierre Fabre, le contrat de location-entretien de tenues stériles Cleanrooms est directement négocié par le siège. Ce qui n’empêche en aucun cas les services de PFMP-Aquitaine Pharm International de le gérer ensuite. « Sur site, nous faisons appel à Initial pour les combinaisons et surbottes lors des manipulations en bloc stérile. Elles doivent donc respecter les contraintes réglementaires et de sécurité inhérentes à notre activité. Chaque semaine, lors de la livraison, la fiche traçabilité établie par Initial est jointe et transmise à notre service Qualité pour validation. Par ailleurs, c’est nous qui décidons du nombre, du jour de reprise/livraison et bien sûr de la cadence », souligne Claudie Petit. C’est ainsi que, depuis bientôt 20 ans, pour chaque entrée en bloc stérile, les agents de production enfilent une combinaison et des surbottes Cleanrooms pour, au final, une consommation de pas moins de 1 200 combinaisons et de 1 900 surbottes par an ! ![]()
Nos prestations Cleanrooms, comme les autres prestations d’Initial, bénéficient d’une prise en charge totale pour vous permettre de vous consacrer pleinement à votre cœur d’activité :
Un service encore plus pertinent grâce à l’Espace Client où vous pouvez consulter, gérer et suivre le détail de toutes les prestations que nous vous rendons avec des informations mises à jour en temps réel. |
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Enjeux |
Hygiène des mains : il court, il court le virus |
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Les employés français entrent fréquemment en contact avec des bactéries porteuses de virus sur leur lieu de travail. Des études récentes révèlent qu’ils négligent notamment l’hygiène de leurs mains, aggravant ainsi le risque de contamination et de propagation des maladies à leur entourage. Initial vous en dit plus.
Des mains très accueillantes… pour les germes
Après être passé aux toilettes, nos mains hébergent plus de 31 millions de bactéries par cm2. Principal vecteur de contamination d’une personne à une autre, une main contaminée peut déposer une bactérie sur 5 autres surfaces et 14 autres personnes1. Si l’on ne s’est pas lavé les mains consciencieusement, la propagation du germe va continuer. On va le déposer sur nos outils de travail et sur les produits sensibles sur lesquels on travaille et dont la qualité risque d’être altérée de ce fait. On risque également de le colporter sur diverses surfaces de notre lieu de travail, comme les poignées de porte, les murs et le mobilier. Ces surfaces vont devenir porteuses de germes qui pourront être transmis à notre entourage ou aux patients. De même que lorsque l’on porte de la nourriture à notre bouche, les bactéries s’engouffrent dans notre système intestinal… et une maladie nous guette !
Une hygiène au travail qui laisse souvent à désirer
Les travailleurs français passent en moyenne 38 heures par an dans les toilettes de leur entreprise, soit l’équivalent d’une semaine de travail. Ils n’hésitent d’ailleurs pas à utiliser ce lieu pour y lire, surfer sur internet et - pour 21% d’entre eux - y téléphoner… ce qui explique sans doute qu’on dénombre en moyenne 4000 bactéries par cm2 sur un téléphone ! Pourtant des études internationales2 révèlent que les Français pratiquent très souvent une hygiène des mains laxiste sur leur lieu de travail. Ainsi, 49% d’entre eux admettent ne pas se laver les mains après chaque passage aux toilettes. Et ceux qui le font n’ont pas toujours les bons réflexes : un homme sur deux omet d’utiliser du savon lorsqu’il se lave les mains ! La lutte contre les bactéries est l’affaire de tous
Les études ont également révélé que les travailleurs français sont peu conscients des risques encourus par la négligence d’une bonne hygiène des mains et qu’ils ne font pas le lien entre maladie et manque d’hygiène. Ils ont tendance à se défausser de leur responsabilité personnelle, en remettant en question la propreté des sanitaires mis à disposition. Par ailleurs, les études ont montré qu’une meilleure hygiène individuelle des mains permettait de réduire de 47% les maladies au travail. C’est dire si la lutte contre les bactéries est l’affaire de tous : les collaborateurs, qui ne tomberont plus malades, et les entreprises qui y gagneront en productivité ! Et pour mener cette lutte efficacement, ils devront se munir d’équipements adéquats : savon, gel désinfectant, essuie-mains… autant de solutions d’hygiène qu’Initial développe et met à disposition des professionnels. ![]() Les bons réflexes à prendre pour stopper les virus
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